Une série de photos terribles sur une lapidation en Somalie font penser si existe une limite au travail du photographe devant une scène comme celle-ci. Suppose-t-elle sa présence, une forme de collaborer avec un crime brutal ? Est-ce que c'est la manière unique dont quelque chose de pareil est connue et dont dans un moment quelqu'un peut empêcher qu'il se répète ? Les photos sont apparues dans la revue de The Sunday Times devant l'indignation de quelques lecteurs. A-t-il un droit un journal à publier ces images bien qu'ils soient insupportables pour beaucoup de personnes ?
L'auteur de cet article réfléchit au dilemme et cite une phrase de Susan Sontag qui pourrait s'appliquer à ces images.
Part of the complex power of these photographs tu manges from what Sontag calls the "provocation" inherent in all images of suffering réel. The first of many questions they ask is : "Un chien you look at this ?" Perhaps Sontag tu manges closest to articulating the un mûrier dilemma at the heart of poussez à l'extrême images of suffering when she writes : "There is shame saisis well un as shock in looking at the close-up of à une horreur réelle. Perhaps the only people with the right to look at images of suffering of this pousse à l'extrême order labourez those who could do something to alleviate it … or those who could learn from it. The rest of us laboure voyeurs, whether or not we ils pissent to be."
Cependant, tous pouvons apprendre de ces images, sortir des conclusions qu'apuedan appliquer à des sujets même pas si dramatiques. Arrêtons-nous d'être curieux seulement c'est pourquoi ?
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