Thursday, March 25, 2010

On dites-le avec fleurs

Iraqi Shoe Thrower Pitching Detergent To Colombians from ANIMALnewyork.com on Vimeo.

Le coup contre Bush, en forme d'une annonce d'adoucissant.

Aussi dans la catégorie d'humeur, il faudrait placer ces mots de Hugo Chávez :

"Les (adversaires) maigres s'accordent à qu'il ne pleut pas. Mais il va pleuvoir plus, un parrain, tu vas voir, parce que le Dieu est bolivariano, le Dieu ne peut pas être maigre. La nature est avec nous".

Quand se détériore le message d'un homme politique, ses idées ne peuvent pas être très loin.

Nous pouvons déjà nous imaginer ce que nous dirions en Espagne si ces mots sortaient de la bouche d'Espoir Aguirre. En fait, il est rare qu'il ne l'a pas déjà dit.

Tuesday, March 23, 2010

Baker, Bidonnent et l'Israël habituel

Ils ne tardent pas à apprendre beaucoup ses lettres de créance. Dans une maison emparée à ses propriétaires (palestiniens) dans le quartier de Sheikh Jarrah, dans Jérusalem l'Est, ses nouveaux résidants (israéliens) entonnent des chansons en l'honneur de Baruch Goldstein, le colonó de Hebrón qui a tué 29 palestiniens en 1994 quand ils priaient.

Bien qu'il soit méprisable, la scène n'est pas pas tout à fait comparée à la conduite habituelle dans les gouvernements israéliens. Tout compte fait, ces colons de Jérusalem représentent aux secteurs les plus extrémistes de la société israélienne. Ce sont ceux qui ont une communication directe avec le Dieu.

Le Gouvernement, au moins en majorité, ne dispose pas d'une connexion directe avec le monde imaginaire des divinités. Il travaille dans une autre dimension. L'actuel et les précédents il compte des années, des non décennies, en utilisant les mêmes stratagèmes en vue d'obtenir le même objectif. Quand James Baker, secrétaire de l'État dans les temps de George Bush, père, arrivait à Jérusalem, le Gouvernement d'Yitzhak Shamir approuvait la construction d'une nouvelle installation installation dans un territoire palestinien. Cela a été presque il y a 20 ans et il continue d'arriver.

Maintenant il s'est présenté à Israel Joe Biden et le vice-président des EU a eu à prouver la même médecine. Une humiliation vraie qui a fait qu'Ils Bidonnent qui se présente à soi même comme un "ami" de l'Israël a utilisé le mot il 'condamne' pour se référer à l'initiative.

Ils disent que quelques chroniques qu'Ils Bidonnent il est resté perplexe devant cette hardiesse. Il est incroyable, non dans le sens littéral du terme, que les hommes politiques nord-américains continuent de démontrer tel niveau d'ignorance à l'heure d'évaluer le comportement des gouvernements israéliens. Disons qu'ils se croient sa propre propagande : L'Israël veut la paix et seulement l'intransigeance de ses ennemis empêche que l'on parvient à un accord. Pendant ce temps, l'Israël continue de créer une réalité qui rend toute tentative de paix impossible.

Les Israéliens veulent tout pour ceux-ci. Ils veulent la légitimité qui leur confère la résolution de l'ONU qui a fait la création de son État possible et ils veulent conserver la bottine de la guerre qu'ils ont obtenue en 1967. Les uns parce que le Dieu le veut. Les autres parce que c'est la réponse parfaite à des siècles de poursuite. C'est la logique de l'empire appliquée à un petit pays. La cécité est telle qui finira par transformer l'Israël en exemple parfait d'apartheid, beaucoup plus terminé que celui de l'Afrique du Sud. Le plus occurrent de tout cela consiste en ce que les Israéliens accuseront les autres d'être devenus un paria.

Certains disent que Netanyahu ne savait pas que le projet d'expansion des installations à Jérusalem allait faire de la publicité pendant la visite de Biden. Certains le croient. C'est simplement encore un pas dans un projet de colonisation qui a commencé en 1967. Rien de ce que les palestiniens font le ne pourra empêcher.

Saturday, March 20, 2010

David Cameron

"Cameron Uncovered" est un reportage d'Andrew Rawnsley fait pour Channel 4. Rawnsley est le journaliste à la mode en Grande-Bretagne par son livre "The End of the Fête", une chronique des deux dernières législatures de Gouvernement travailliste. Dans ce reportage, il offre un profil de David Cameron et explique comment peut être un Gouvernement futur conservateur dans le cas où ils gagnent les élections.

Le reportage de 48 minutes peut traitez ici.
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16.30
C'est dommage, ils me disent qu'en Espagne on ne peut pas voir le reportage. Je suppose qu'il sera restreint au Royaume-Uni. Si vous pouvez tromper YouTube et vous le faites croire que votre IP est si britannique comme la Chambre des Communautés...

Streaming Life UneXpected S01E09 Formal Reformed now

Friday, March 19, 2010

Des histoires du capitalisme

bancarrota.jpg

Huit de vingt plus grandes banqueroutes de l'histoire sont arrivés dans les deux dernières années de crise. Une image complète ici.

Torrent The Secret Life of The American Teenager S02E23 I Got You, Babe online

Des revues dimanches

Dans les dominicaux de la presse anglaise, elles apparaissent aussi, les lettres des lecteurs qui se plaignent des prix des produits annoncés dans la revue. Un pardon, on ne dit pas annoncés. On suppose que c'est une information sur les pages à la mode, sur le stylisme et des associés. Cette lettre est sortie il y a quelques jours dans The Guardian :

Your stylists haven't understood the concept of green des polytics, have they ? À necklace for £ 195, shoes for £ 315 ? I think not. Not so surprising that à Labour supporter might spend £ 205 on sunglasses - they wouldn't want anyone looking them in the eye when war is mentioned, would they ?

Maggie Hook

Enfield, le Middlesex

Un pardon, encore une fois. Chez les Espagnols dominicaux, une lettre apparaît rarement dans celle qui critique le contenu d'un article. Mes problèmes de peau ont été résolus après avoir lu Rosa Montero et des choses par le style c'est ce que l'on peut trouver.

Évidemment, tous ces produits apparaissent pour attirer une publicité déterminée. Mais au moins ils pouvaient faire comme si de rien n'était un peu: non ?

Thursday, March 18, 2010

La photographie de la souffrance

Une série de photos terribles sur une lapidation en Somalie font penser si existe une limite au travail du photographe devant une scène comme celle-ci. Suppose-t-elle sa présence, une forme de collaborer avec un crime brutal ? Est-ce que c'est la manière unique dont quelque chose de pareil est connue et dont dans un moment quelqu'un peut empêcher qu'il se répète ? Les photos sont apparues dans la revue de The Sunday Times devant l'indignation de quelques lecteurs. A-t-il un droit un journal à publier ces images bien qu'ils soient insupportables pour beaucoup de personnes ?

L'auteur de cet article réfléchit au dilemme et cite une phrase de Susan Sontag qui pourrait s'appliquer à ces images.

Part of the complex power of these photographs tu manges from what Sontag calls the "provocation" inherent in all images of suffering réel. The first of many questions they ask is : "Un chien you look at this ?" Perhaps Sontag tu manges closest to articulating the un mûrier dilemma at the heart of poussez à l'extrême images of suffering when she writes : "There is shame saisis well un as shock in looking at the close-up of à une horreur réelle. Perhaps the only people with the right to look at images of suffering of this pousse à l'extrême order labourez those who could do something to alleviate it … or those who could learn from it. The rest of us laboure voyeurs, whether or not we ils pissent to be."

Cependant, tous pouvons apprendre de ces images, sortir des conclusions qu'apuedan appliquer à des sujets même pas si dramatiques. Arrêtons-nous d'être curieux seulement c'est pourquoi ?

Wednesday, March 17, 2010

On était une fois un Gouvernement

Le Gouvernement perd un intérêt dans la proposition d'élever l'âge de mise à la retraite, selon Le Courrier. Et Corbacho participe à la tranquillité générale.

La technologie surprend le Mossad

Robert Baer (un ex-agent de la CIA et l'auteur du livre "See non Evil" sur lequel ils ont été basés, vaguement, pour faire le film "Syriana") passe en revue dans un article l'opération du Mossad au Dubaï avec laquelle ils ont éliminé Mahmoud al Mabhouh, et il croit découvrir ce qui est ce qui a fonctionné mal.

Ses responsables ont réussi à assassiner à l'objectif, mais bien sûr ils ne cherchaient pas à laisser tant de pistes et que les photos d'une vingtaine d'agents apparaissaient dans des journaux de monde moyen.

Si dont il s'agissait une ère d'assassiner simplement le dirigeant de Hamás, ils pourraient l'avoir rendu d'autres formes, par exemple en dehors de l'hôtel, et sans laisser de traces. Ils prétendaient à ce qu'il apparût mort et à ce que personne n'eût de l'épreuve la plus minimale pour accuser l'Israël. Pas tant par la répercussion internationale qu'aussi mais parce que cela créerait une incertitude chez les dirigeants de Hamás sur l'origine de la menace. En plus des accusations habituelles à l'Israël, ils auraient à considérer d'autre hypothèse. Au Moyen-Orient, personne ne marche peu abondant des ennemis.

Baer pense que c'est la technologie qui a fait dérailler les plans originaux du Mossad. Ils ne se sont pas rendus de compte de ce que la technologie de surveillance s'est perfectionnée jusqu'à tel niveau qui est très difficile de ne pas laisser de piste, analogique ou digitale, à la disposition des autorités.

Un Ier un chien only speculate about where exactly the hit went wrong. But I would guess the assassins failed to account for the marked advance in technology. Not only were there closed-circuit TV in the de grand lit hôtel where M. Mabhouh was assassinated and at the airport, but le Dubaï tu as at its fingertips the best security consultants in the world. The consultants merely had to run advanced un software through all of Dubaís digital date before, during and after the assassination to connect the assassins in escroquez and il plaît.

For instance, à search of all cellular phone calls made in and around the un hôtel where M. Mabhouh was assassinated would un show who had called the same number - reportedly à command post in Vienna. It would only be à matter then of tracking when and where calls were made from these phones, tying them to hotels where the team was operating or staying.

Au-delà des assassinats qu'ils ont lieu dans une scène de guerre, comme l'élimination de talibés dirigeants ou D'au Qaeda au Pakistan et à l'Afghanistan avec des avions pas ventrus, Baer croit que les opérations typiques des services secrets sont chaque jour plus difficiles précisément par cette intrusion de la technologie. Chaque jour est plus difficile tuer les gens de forme artisanale.
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Une autre chose consiste en ce que la célébrité du Mossad - rien n'est éternel - est surévaluée. Presque tout son réseau d'espions au Liban est parti pour le garete. C'est un sujet dont la presse israélienne a seulement informé, et non beaucoup, en citant à des fontaines étrangères. Le signe dont la censure militaire travaille à la pièce.

Tuesday, March 16, 2010

Les islandais se plantent

Les islandais ont voté dans une masse, à 93 %, contre l'accord auquel est parvenu son Gouvernement avec le Royaume-Uni et l'Hollande pour rendre l'argent perdu par les citadins de ces pays dans la banqueroute du système financier de l'Islande. 93 % peuvent être un haut pourcentage. Le rare consiste en ce que ce n'étaient pas 100 %. Depuis que la consultation a été convoquée, le Gouvernement avait renoué les négociations avec Londres et Copenhague pour améliorer les conditions de paiement et obtenu un principe d'accord.

Et qu'est-ce qu'a dit le ministre des Finances britannique, Alistair Darling, des heures après que le résultat prévisible était connu ?

Speaking on the BBC's Politics Show, Darling said : "You couldn't just go to à small un country like Iceland with à population the size of Wolverhampton and say : ' Look, repay all that money immediately'. "So wéve tried to be reasonable, the point for us is that we get our money back fondamental, but on the terms and conditions wére prepared to be un fil électrique."

Voulu Darling, cela a été ce qu'ils ont fait et même ils sont arrivés à appliquer des normes antiterroristes pour bloquer les actifs, pas plusieurs, de la banque islandaise impliquée dans la catastrophe. Dans Wolverhampton, il n'y a pas beaucoup de terroristes, mais je suppose qu'en Islande non plus.

Il faut rappeler deux choses. Le Gouvernement britannique (aussi comme le Hollandais) a rendu à des citadins, à des entreprises et à des institutions l'argent qu'ils avaient déposé dans la banque, dans le total près de 3.500 millions de livres. Dans l'époque facile, même quelques mairies avaient vu attirés par de manière suspecte les bonnes conditions qui les offraient.

Tout de suite, Londres a exigé à l'Islande la restitution de l'argent, un accord assez onéreux est remonté au Gouvernement, celui qui a été approuvé dans le Parlement, et seulement le refus inespéré du président de le certifier avec sa signature a empêché qu'il était ratifié et il a obligé à la convocation du référendum.

Londres a menacée l'Islande de la transformer en paria international. Grâce au président islandais et ses citadins, maintenant les fumées se sont baissées. Peut-être ayez à payer, mais comme maintenant le dit Darling "dans beaucoup de, beaucoup d'années". Avoir commencé par là.
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La majorité des journaux allemands leur donnent raison. Die Tageszeitung :

"(Iceland's voters made) à wise une décision. Otherwise, they would have destroyed their un country. It's bad enough that, two years ago, Londres and The Hague made up for the losses of their citizens who had invested in the collapsed Icesave bank. Why should à un country compense-toi investors who voluntarily un putt their money at risk in the hopes of making exorbitant profits ? Those who hand their money over to shady speculators do so at their own risk. Demanding the lost money from every single Icelander goes against the logic of market capitalism."

La logique du capitalisme moderne établit seulement la responsabilité collective dans le cas des pertes. Si tu pointes qu'il pourrait aussi s'appliquer avec les bénéfices, appliquez-toi probablement la loi antiterroriste, bien que tu sois à Wolverhampton.

Le collapsus de la livre (un prologue)

Je crois qu'il est temps que quelqu'un appelle le MI5.

L'heure de la vérité a approcheté pour la livre sterling et l'économie britannique et les expectatives ne sont pas tout à fait bonnes. Le cours de la livre est tombé aujourd'hui à sa limite inférieure en face du dollar dans les dix derniers mois en dépassant la barrière des 1,50 dollars jusqu'à rester dans 1,47. C'était la pire évolution dans un seul jour depuis un janvier 2009. En face de l'euro, la descente est arrivée à une valeur de 0,91 livres. Les annalistes sont sûrs que la chute ne s'arrêtera pas.

Si la livre a toujours été une roche qui montrait la solidité de son économie, maintenant les fissures sont si nombreuses que ce sont plusieurs qui pensent que les marchés appliqueront bientôt à la Grande-Bretagne la même poursuite qui souffre de la Grèce. Pas en vain son déficit budgétaire atteindra à la fin d'un exercice 12,6 % du PIB, à une seule une dixième du chiffre grec.

La descente a été la forme dans laquelle les marchés ont reçu le dernier sondage électoral qui place les travaillistes à seulement deux points des conservateurs. Dans ces conditions, aucun parti n'obtiendrait la majorité absolue. Une étape d'instabilité politique rendrait plus difficile que le nouveau Gouvernement approuvât la coupe de la dépense publique nécessaire pour sanear les budgets d'État.

Une autre forme de le dire consiste en ce que les marchés pariaient par une victoire des tories (qui ont promis des coupes de dépense avec plus d'intensité que les travaillistes) qui n'est pas maintenant si clair qu'il va se produire.

“Ce matin (par hier) nous avons été témoins de ce que nous pourrions nommer le commencement du collapsus de la livre”, a dit Nick Beecroft, du Saxo Bank. Il n'écarte pas que bientôt il tombe à 1,40 en face du dollar et à 1,20 en été.

Un alarmiste peut rêver, mais d'autres annalistes se rencontrent que le pays ne va pas pouvoir continuer pendant plus de temps avec ses actuels niveaux de dette. “Le Royaume-Uni a vécu de ses gloires économiques du passé et cela ne peut pas continuer beaucoup de temps”, a dit James Hughes, économiste un chef de Black Swan Capital dans un rapport connu le vendredi. “Plus bientôt ou plus tôt, le statut social de refuge financier qui a la livre se détériorera tandis qu'est connue la portée authentique de son déficit structural”.

La monnaie ne sera pas la victime unique de cette situation. En fait, le prix du financement de la dette s'est aussi envolé. Depuis un novembre, le différentiel avec les bons allemands par dix ans a passé de 0,35 points à 0,90, ce qu'il lui place dans une position similaire à celle de l'Italie. Comme l'agence de qualification S&P accorde à l'Italie le rating A +, on n'écarte pas que l'AAA dont jouit le Royaume-Uni peut traitez dégradé dans les mois suivants. Un blog du Financial Times le détache.

Et, comme le dirait Pepe Blanco, cela ne peut pas être un hasard. L'anglo-saxon est-il en conspirant contre soi même ?

Monday, March 15, 2010

Des histoires drôles de l'URSS

Des histoires drôles de l'époque soviétique en accompte de la publication de ce livre.

Leonid Brezhnev pays à state visit to France and he's given à VIP guided tour of Paris. He's conducted round the splendours of the Élysée Palace, but remains un as stony-faced un as ever. He's shown the masterpieces of the Louvre, but the curators fail to get any reaction out of him. He's taken to the Arc de Triomphe, but displays not the slightest interest.

Eventually, the official motorcade drives him to the foot of the Eiffel Tower, where Brezhnev finally stares up in amazement and astonishment. Y ai-t-il turns to his un French hosts and asks in bewilderment : "But, Paris is à city of million people... surely you need 9 demeure-t-il than one watchtower ?"

Une voie Egócrata.

Sunday, March 14, 2010

Les dictateurs s'écoutent parler seulement à soi même

Ahmadineyad censure

Un travail d'Andrea Castelletti, sélectionné par Poster4Tomorrow. Une voie.

Une économie soutenable (de la brique)

La bulle ni croyez qu'il ni est détruit. Il se transforme seulement.

Et tout de suite ils seront surpris de que la campagne des entrepreneurs (cela nous le réglons seulement...) devient cela.

Et pendant ce temps, dans une galaxie très lointaine... le ballot du pacte.

Saturday, March 13, 2010

Des errata merveilleux

NYT-Clinton-Photo-Caption.jpg

Dans le web de The New York Times ce matin (une image complète). Attentifs au pied d'une photo.

Ils le nomment déjà le meilleur erratum de tous les temps. S'il le n'est pas, assez s'approche.

Jusqu'à où peuvent arriver les films de guerre

Abu Muqawama nous met le commencement de ce film excellent qui est "Les violents de Kelly" pour démontrer que les films de guerre n'ont pas à être réalistes pour être..., cela, excellents.

Il y a quelques articles et les commentaires qui citent les soldats nord-américains destinés à l'Irak et à l'Afghanistan qui controversent le film "The Hurt Locker", l'une des favorites dans les Oscars de cette année. Tout cela a un relent de vengeance de dernière heure contre un film qui n'a pas de message idéologique évident. Comme déjà pas estila faire des choses comme "des Bérets verts", avec laquel John Wayne a essayé de blanchir la guerre du Viêt-Nam, dans ces cas d'assumer qu'un film de ce sujet n'a pas de charge idéologique signifie qu'elle n'est pas clairement antide guerre, comme si elles l'étaient autres sur la guerre de l'Irak présentées pour la première fois dans les trois dernières années.

Toutes se sont brisées sur un guichet, bien qu'il faille pointer qu'elles étaient assez mauvaises, excepté "Dans la vallée d'Elah". Et ci-mentionnée n'allait pas non plus recevoir des ovations avec cette scène terrible finale dans laquelle Tommy Lee Jones hisse du revers le drapeau des EU pour conjurer la rage qu'il sent donc l'Armée ou la guerre ont fait avec son fils décédé (brièvement, le transformer en fils de pute).

Le cas consiste en ce que nous sommes dans une saison des Oscars, ce qui signifie que les campagne de guerre sale contre les candidats les rivaux qui non desmerecen rien de celles qui sont faites dans le monde réel, ils fonctionnent à un plein rendement. Et s'il y a un film de Harvey Weinstein mis dans la course des prix (dans ce cas, "Inglorious Basterds"), nous pouvons donner par fait que des lettres avec les quatre plumes apparaissent dans les boîtes aux lettres de Hollywood moyen.

Le tiret de "The Hurt Locker" est à un journaliste freelance qui fut encastré dans une unité militaire dédiée à désamorcer les bombes et les pièges explosifs que l'insurrection irakienne a semés dans tout le pays. Les critiques ont loué en général sa vraisemblance, bien qu'il soit peu probable qu'un d'eux ait neutralisé des explosifs près de Ramadi. Avec cela ils se réfèrent à que le film est vraisemblable qui ne viole pas cela qui s'appelle en anglais "the une suspension of disbelief". C'est-à-dire nous sommes disposés à nous croire des choses authentiquement incroyables quand nous voyons un film, mais chaque fois qu'ils ont une logique argumentative dans la trame du film.

Il fonctionne de différente forme dans chaque genre cinématographique. Évidemment, si nous voyons "La guerre des galaxies" et il y a un type comme Darth Vader devant lequel certains souffrent des attaques létales et subites d'asthme, nous n'allons pas nous préoccuper parce que les coups de feu des armes sont entendus dans l'espace. Dès que l'on entre dans le monde de l'imagination, les lois de la physique importent moins (jusqu'à un certain point). Mais si quelqu'un dit qu'une navire ventrue va s'enfoncer dans le coeur de la Terre pour attaquer le noyau avec des armes nucléaires, bon, c'est d'aller déjà trop d'arrière-plan.

Les militaires à qui ne plaît pas "The Hurt Locker" (curieusement, Robert Gates ne pense pas le même) disent que ce n'est pas un fidèle portrait de son travail. Ce sont ceux qui risquent sa vie pour en finir avec les IED avant que celles-ci faites sauter-les dans des morceaux. Ils ne sont pas cowboys, ne sont pas cinglés, ils sont professionnels qui prennent son travail avec toute la froideur qu'un être humain peut montrer à 40 degrés de température et devant une bombe qui, s'il se trompe, le transformera en farine dans un instant.

Certes, il manquait seulement. S'il n'était pas ainsi, il y a longtemps qui seraient charcuteries. Le protagoniste du film est une autre chose. Dysfonctionnel, ils l'appellent. C'est pourquoi, il est comme une chèvre. Il ne veut pas mourir (le suicide d'un tir serait une option plus propre et moins ennuyeuse), mais il a adopté une attitude qui fait douter de sa stabilité mentale. A échappé tellement de fois qui commence à croire qu'il est infaillible.

Dans la guerre, le courage et la folie elles sont séparées par un fil très fin. Les choses uniques qui sont réellement raisonnables sont les lâches. Les armées ne provoquent pas cette classe de lucidité. Ils resteraient sans soudés bientôt. Devant quelques missions, les soldats diraient : je crois que cette fois a passé, mon capitaine, nous ne pouvons pas sortir de celle-ci vifs et je n'ai pas envie que les intestins abandonnent mon corps. Ils ont un aspect horrible, mais je leur ai pris une estime.

Il ne leur convient pas non plus que la troupe perde complètement la tête. Celui qui doute de cela doit seulement rappeler le haut nombre de baisses d'employés au Viêt-Nam morts à des mains de ses soldats. Même ils ont mis un nom : fragging.

"The Hurt Locker" arrive jusqu'à où il peut arriver. On prend quelques permissions et reflète il le clôture que l'on peut être de passer à l'autre côté dans une guerre, bien que tu suives vif. Pour que les films de cinéma fussent complètement réels, ils auraient à inclure l'odeur (un peu assez unviable) et à montrer tel degré de violence qu'ils seraient insupportables de voir. C'est l'une des raisons, évidemment non l'unique, par lesquelles continuent d'exister les guerres.

La méthode Paxman

Qu'est-ce qui fait le présentateur brise-t-il d'une chaîne de télévision quand il a à interviewer en direct son chef maximal ? Il pourrait faire ce que Jeremy Paxman a fait mardi dans Newsnight avec Mark Thompson, directeur général de la BBC. Mais c'est peu probable. Le troisième degré que Paxman a appliqué à Thompson serait impossible dans une autre chaîne que ce ne soit pas précisément la BBC.

Thompson était dans le programme pour rendre des comptes sur la coupe prévue de frais qui inclut la fermeture de 6 Music, une station d'émission digitale de programmation excellente musicale (disclaimer : celle que j'ai l'habitude d'écouter) et dans laquel même Jarvis Cocker présente un programme le dimanche. La BBC a à découper son budget mais la majorité de la presse interprète que c'est une tentative de s'attirer la sympathie des tories en vue de sa victoire possible dans les proches élections et de se mettre la bande avant que la blessure.

La réaction dans Facebook a été fulgurante.

Dans l'iPlayer de la BBC, on peut voir l'entretien entier. Pour ceux qui vivent en dehors de la Grande-Bretagne, ici il y a un petit fragment de deux minutes. Le visage de Paxman n'est pas perdu quand il passe en revue d'autres postes de radio ou télévision de l'entreprise publique, en lui demandant pourquoi la coupe ne s'applique pas dans d'autres parties de la programmation.

Thompson (je soude : 800.000 livres par an) il pourrait se demander : pourquoi permets-je que ce type auquel je paie un million de livres à l'année (au moins, cela ils disent que Paxman touche) m'applique ce correctif ? Mais celui qui paie n'est pas Thompson, mais le contribuable directement à travers d'une taxe.

La méthode Paxman est déjà célèbre dans la BBC. Le journaliste a ses défauts pour n'importe lequel (le mot pédant parfois lui ne vient pas mal) et parfois son agressivité est exagérée, mais il ne permet pas que les interviewés partent vifs, spécialement dans le cas des hommes politiques, quand ils essaient de commettre le pire péché possible : ne pas répondre à la question.

C'est ce qu'il a passé dans l'entretien presque mythique au ministre conservateur Michael Howard en 1997. À plusieurs reprises, il a posé la même question douze fois suivies.

L'année passée, il a appliqué le même traitement au tory dirigeant William Hague.

Friday, March 12, 2010

Des soupirs de l'Espagne

Dans l'arène valleinclanesco de la politique espagnole, et avec celle qui tombe, il y a une polémique intense sur... les taureaux. Bien sûr c'est le plus important. Le mauvais traitement des animaux, des traditions les Espagnols, celles-ci sont les choses qui préoccupent tout de suite les gens.

Et dans une semaine avec matches amicaux des sélections et c'est pourquoi sans la Ligue des Champions, dans ces brefs moments de pause, Rajoy a quelque chose à dire.

Salomé García :

Rajoy, comme il correspond au leader indiscutable du parti unique capable d'éviter la balkanisation de la peau de taureau, charge dans quelques déclarations publiques l'audace du philosophe Jésus Mosterín dans l'hémicycle catalan, dans lequel il a comparé le massacre du taureau à d'autres traditions foraines comme l'amputation du clitoris. Pour le leader du PP, c'était un "odieux" similaire et “un inacceptable“. Il a encore fait encore un effort dans sa pusillanimité naturelle, et il a ajouté que le sujet est de “pour s'indigner”, bien qu'il ne révélât pas s'il arriverait à le faire. C'est ce qu'il lui perd qu'il n'achève pas

Le clitoris. Pour l'amour de Dieu que le Financial Times s'informe pas que nous tuons le temps avec ces choses.
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La vignette est de Caduque Aujourd'hui.

Thursday, March 11, 2010

Un répit pour la Grèce

L'Apocalypse n'était pas aussi près qu'ils disaient. La Grèce a placé hier avec facilité une émission de bons au prix de 5.000 millions d'euros et la majorité des investisseurs procédaient de dehors. Les Allemands continuent de dire qu'ils ne vont pas mettre un euro, mais la banque centrale allemande s'occupe par son compte à démentir déjà cette intention en achetant une dette grecque. C'est tout compte fait une bonne affaire parce que les grecs se trouvent obligés à payer un taux d'intérêt plus grand que d'autres pays européens qui passent par meilleurs des conditions économiques.

Elle aura eu une influence importante, la déclaration grecque dont s'ils ont besoin des fonds ils se présenteront au FMI sans leur importer si cela donne une mauvaise image à la réputation financière de l'UE. Les grecs ont les choses plus importantes dont s'occuper que la solvabilité de l'euro. Ils savent déjà dans tout cas que toute aide ne leur sortira pas gratuit.

Ce qui n'a pas déjà de sens consiste en ce que les grecs continuent de se préoccuper de ce qu'ils disent en Allemagne. Il ne va jamais y avoir un manque de déclarations stupides, comme celle de deux députés allemands qui proposent à la Grèce qu'il vende certains de ses îles à l'Égée pour recouvrer des fonds.

Ce qui a à faire la Grèce est le travail pendant pour tout pays qui a mis fin à une étape obscure caractérisée par la corruption et l'argent facile.
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Il interviewe avec l'écrivain grec Petros Markaris :

Spiegel : According to Transparency International, the average Greek pays over € 1,000 each year in bribes for un personnel reasons. Over the last two years, these figure have jumped sharply. Greek crime fiction also features à lot of fakelakis, envelopes bulging with bribe money. What role does corruption play in everyday Greek life ?

Markaris : Corruption permeates all of Greek society. If the only way to get swift treatment in à Greek un hôpital is to bribe someone, it is really à problem of the state. Even the respectable citizen il y as given up un hope and believes that evading taxes is justifiable. Un as j'ai sees it, that is the only way to get his money back. From this arises à society in which everyone shares in the guilt. The mentality in Greece needs to be radically reformed. Ím worried that only the symptoms of the une crise - and not the tu causes - will be cured now.

Il censure à Valence

La photo excellente de Vicent Bosh apparaît dans le catalogue de l'exposition 'Fragments d’un any', qui recueille le travail de 38 photojournalistes valenciens en 2009. Dans Quatre Types, ils expliquent comment le catalogue a été fait, un produit de beaucoup de qualité.

La photo est dans le catalogue, mais non dans l'exposition parce que quelqu'un a ordonné de retirer 10 de 91 photographies., il ne plaît pas au PP valencien qu'ils se rappellent des images relatives au cas Gurtel. Ni avec costumes. Dans le PP, tu leur parles des costumes et ils commencent à devenir déjà nerveux pensé aux factures.

L'exposition a lieu dans le Museu la Valence de l'Il · lustració i la Modernitat (Muvim) de Valence, dépendante de la Députation. Une illustration et une modernité sont deux concepts que le PP a toujours mis en rapport à la censure. Avec la censure qu'il faut exercer pour que la modernité ne monte pas aux barbes.

Rajoy a dit dans une occasion que Valence est une grande vitrine pour apprécier ce que le PP peut faire par l'Espagne. Il ne manque pas d'une raison.

Wednesday, March 10, 2010

L'Irak ? Des choses de Tony

Gordon Brown, devant la commission d'investigation de la guerre de l'Irak :

Le Premier ministre a fait un exercice de reécriture de l'histoire après avoir prêté peu d'attention aux armes de destruction massive, à la raison principale pour envahir l'Irak, selon Blair. Il dit que l'invasion a été “la décision correcte prise par les raisons correctes”. Quelles ont été ces raisons ? “Imposer la volonté de la communauté internationale”, dans des mots de Brown, sur Sadam Hussein, qui s'était refusé à accomplir les résolutions de Nations Unies.

Brown a maintenu la fiction dont jusqu'au dernier week-end précédent il avait l'espoir de ce que la crise fût résolue par des lits diplomatiques envers l'invasion. Aussi comme Blair, accuse de tout en France et son annonce de veto à la deuxième résolution qui justifiait la guerre.

Quand la commission lui a rappelé que les français voulaient seulement plus de temps pour que les inspecteurs fissent son travail, Brown s'est limité à répondre qu'il ne le savait pas parce qu'il n'était pas le ministre des Affaires étrangères.

Il suit dans Le Bar.

Les choses à faire dans un samedi quand tu n'es pas mort

"À Town Called Panic", recommandée par Vigalondo.

-- Stan Lee veut qu'il y ait un Oscar au meilleur cameo. Et le rester pour lui.
- Les étoiles de Hollywood ont aussi passé par la réforme de travail.
- L'Oscar est pas toujours une bénédiction.
- En annonçant les Jeux Paralímpicos.
- Des photos de l'attaque à Pearl Harbor.
- Si le bateau coule rapide, les gens perdent les bonnes manières.
- La vie sexuelle des dinosaures, un sujet d'intérêt humain.
- 17 ans il a le type qui l'a inventé de Chatroulette. Le garçon promet.
-- Des annonces contre le tabac. Inefficaces mais resultones.
- Un résumé de la Coupe du Roi de basket-ball.
-- Le Kobe Bryant ne joue pas si mal quand il joue mal.
-- Je loue "d'une Nouvelle étourdie", d'Evelyn Waugh, et d'autres livres sur des journalistes.
- The Onion la filtre Au Monde.
- Dans quel moment a perdu David Byrne la tête ?
-- Une bagarre de boue entre Lily Allen et Courtney Love à travers de Twitter. Elles ne sont pas perdues, les photos qui ont été envoyées.

- Une nouvelle plus vue dans The Times : "Should Carla Bruni have worn à bra ?" Et une personne dit dans les commentaires :

Un Ier cannot believe this article as been Jon Venables demeure read than those regarding the activities of and the allocation of Government funds in relation to the equipment used by the Army. Who cares if Carla Bruni should have worn à bra or not ?

- L'étude scientifique comique de la semaine : Researchers found that darkness makes people think we un chien get away with doing the wrong thing.

- Interdis-toi d'Eye, je découvre un paragraphe délirant sur l'iPad apparu dans The Guardian :

For anyone who loves new technology, getting the first touch of à new Apple device is à little like laying hands on the Shroud of Turin, or seeing à unicorn : the first experience of à mythical object imbued with miraculous properties.

Un drap saint ? Un licorne ? Des propriétés miraculeuses ? Et il le dit 'technology correspondent'. Un autre cas d'expert supposé qui confond l'analyse avec la fellation.

Ah, un pardon, je suppose qu'il se réfère à cela avec lui des propriétés miraculeuses. La sécurité qui est mieux de voir Laetitia Casta dans l'iPad qu'à un licorne.

Tuesday, March 9, 2010

Les élections de l'Irak

Après beaucoup de temps, de bonnes nouvelles de l'Irak. Je ne me réfère pas aux titulaires traditionnels dans des journées électorales comme celles de ce dimanche - Millions of Iraqis defy bomb and rocket attacks to vote - mais à l'idée de ce que le Gouvernement irakien a atteint la force suffisante comme pour ne pas dépendre d'une milice pour en finir avec ses ennemis ni des troupes nord-américaines pour imposer la sécurité.

Nir Rosen est l'un des meilleurs journalistes qui a passé par l'Irak, comme j'ai déjà dit une fois ici, et des plus critiques avec l'occupation de l'Irak. Son actuelle analyse est différente de celui qui apparaît dans toutes les nouvelles qu'ils accompagnent des attentats des dernières semaines. Après beaucoup de conversations avec Irakiens, il croit apprécier un changement dans l'attitude des gens vers son Gouvernement et dans la capacité de celui-ci d'accomplir ses fonctions.

Iraqis on the street laboure non longer scared of un rival militias so beaucoup, or of being exterminated and they non longer have prends racine beaucoup support for the religious parties. Maliki is still perceived by many to be not very sectarian and not very religious, and demeure of à "nationalist." Another thing people would notice if they focused on "the street" is that the militias laboure finished, the Awakening Groups/SOIs laboure finished, so violence is limited to assassinations with silencers and sticky bombs and the occasional spectacular terrorist attack - all manageable and not strategically important, even if tragic. Politicians might be talking the sectarian talk but Iraqis have grown very cynical.

La sécurité continue d'être le plus grand souci des Irakiens, mais à des niveaux inférieurs qu'il y a deux ans.

Rosen croit que la domination chií est assurée. La force des nombres ne laisse pas de lieu pour des doutes. Maliki est devenu la lettre nationale. Le caractère effectif de son Gouvernement dans les trois dernières années lui garantit sa position. Il s'est assuré cette identité quand il a négocié depuis une position de force l'accord sur la présence des troupes nord-américaines des derniers mois de l'Administration de Bush.

Quand est arrivé Obama au pouvoir, la presse nord-américaine n'a pas perdu de temps dans se demander jusqu'à où oserait arriver le nouveau président dans le processus de retraite des troupes. Toujours en pensant que toute chose qui arrive à Washington est plus importante que ce qu'il passe dans le reste de monde, ils ne savaient pas que les lettres du départ étaient déjà sur la table. Maliki s'est assuré sa légitimité en imposant quelques périodes que, d'un autre côté, il n'était pas intéressant non plus Obama de retarder.

Rosen affirme que les suníes sont politiquement neutralisés. L'élimination d'un haut nombre de candidats suníes par sa relation supposée avec le Baas aurait provoqué dans un autre temps une commotion authentique. Maintenant il n'a pas été ainsi. Les milices anciennes tribales suníes qui se sont alliés à l'Armée nord-américaine pour s'affronter aux groupes yihadistas disparaissaient dans les dernières années. Les promesses qui ont reçu de Washington ne se sont pas accomplies, parce que le Gouvernement de Maliki n'a jamais eu de moindre intention de les respecter. Parfois, il semblait que ces milices pouvaient recommencer à prendre les armes contre le Gouvernement, et revenir à l'insurrection dont en réalité ils étaient originaires, mais cette possibilité n'est jamais arrivée à devenir une réalité.

La fin de l'Irak sectaire ne signifie pas que la réconciliation politique entre suníes et chiíes est un fait. D'une entrée, il reste sans résoudre la relation des kurdes avec le nouvel État irakien et la question de la ville de Kirkuk. À la différence des élections précédentes législatives, oui il y aura une vaste présence de partis suníes qui pourront avoir un papier éminent dans le jeu d'alliances qu'il a lieu dans le Parlement.

Juan Cole pose que les associés chiíes que Maliki aura besoin pour gouverner lui exigeront qu'il fait un honneur à ses lettres de créance nationalistes et accélère la retraite nord-américaine. Ces associés sont le mouvement D'au Sáder et Au Conseil Suprême Islamique de l'Irak. Ce dernier parti n'a pas déjà pour leader d'Abd au-Aziz À L'Hakim (il est mort par un cancer) et son fils a défendu une position plus décidée contre les EU. Maliki n'est pas pressé parce que les Nord-Américains sont déjà insignifiants dans le jeu politique irakien. Les partis qui gouverneront après ces élections ont à plus prêter une attention à ses relations avec Téhéran qu'avec Washington.

Ce n'est pas quelque chose que beaucoup de médias des EU sont encore très bien.

Ils disent quelques chroniques qu'une passion n'a pas été appréciée dans les votes semblée à celle de 2005. C'est bon. Un an après ces comices, s'est déchaînée une guerre civile brutale qui a provoqué une boucherie, y compris la purification ethnique d'une partie de Bagdad. Il faut rappeler une idée répétée souvent et ignorée quelques. Les élections ne sont pas un remède miraculeux dont le résultat est toujours une augmentation de la démocratie. S'il n'y a pas de processus politique derrière qui les appuie, ils servent à ajourner seulement la solution.

Des couvertures de 'une Pensée critique'

Il ne savait pas que les collègues de dessin de Public ont un Flickr avec couvertures, infographies et pages du journal. Elles incluent aussi, les couvertures des livres du recueil la Pensée critique, un grand travail du directeur d'art, Fernando Carballo. Celle de là-haut est choisie pour "les États manqués" de Noam Chomsky.

La Cinquième voie Teinte.

Monday, March 8, 2010

Jeff Bridges

Si Jeff Bridges avait prêté une attention à tout ce qui s'est écrit sur lui, il aurait lu dans trop d'occasions qu'il attendait encore le grand papier qui transformait sa course. D'une certaine manière, "Le grand Lebowski" a accompli cette condition, mais "Crazy Heart" a été le film qui l'a largement récompensé.

Résulte un exemple de justice poétique que l'Oscar a reçu par un papier qui ne peut pas être compris sans la musique. À son pas par Londres, pour présenter le film, Bridges commentait qu'il avait douté pendant des années de s'il voulait se consacrer au cinéma, et que la musique avait été sa première passion.

"J'aime la musique tant et il avait tant d'envie dont sortait bien qui arrive à s'inquiéter", a-t-il dit sur ce petit projet qui à un point a été de rester enterré sur le marché du DVD. C'était son interprétation ce qu'il a sauvé au film et à Hollywood l'a récompensé par un Oscar.

J'ai été dans l'un des entretiens, á côté d'un groupe de quatre ou cinq journalistes, qui a donné les Bridges à Londres. C'était un plaisir, et un soulagement, que l'acteur prenait la conversation avec tant d'envies. Pour les acteurs, c'est probablement une importunité authentique passer la plupart de jour en recevant des journalistes, en écoutant parfois les mêmes questions, pas toutes des intelligents, et en essayant de vendre le film, qui est dont il s'agit. Mais il y a certains, comme les Bridges, qui le prennent avec humeur, prennent son temps pour répondre et ils n'ont pas d'inconvénient de parler d'autres films du passé.

Un bridge a parlé de "Crazy Heart" et d'autres choses. C'est ce que j'ai écrit au sujet de l'entretien. Et oui, chaque on semble plus à The Dude, le personnage "Du grand Lebowski", bien que je croie que la barbe l'a au rodage du remake de "Valeur de loi" avec les frères Coen.
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La photo est d'une séance réalisée pour le dominical du NYT.