Tuesday, March 9, 2010

Les élections de l'Irak

Après beaucoup de temps, de bonnes nouvelles de l'Irak. Je ne me réfère pas aux titulaires traditionnels dans des journées électorales comme celles de ce dimanche - Millions of Iraqis defy bomb and rocket attacks to vote - mais à l'idée de ce que le Gouvernement irakien a atteint la force suffisante comme pour ne pas dépendre d'une milice pour en finir avec ses ennemis ni des troupes nord-américaines pour imposer la sécurité.

Nir Rosen est l'un des meilleurs journalistes qui a passé par l'Irak, comme j'ai déjà dit une fois ici, et des plus critiques avec l'occupation de l'Irak. Son actuelle analyse est différente de celui qui apparaît dans toutes les nouvelles qu'ils accompagnent des attentats des dernières semaines. Après beaucoup de conversations avec Irakiens, il croit apprécier un changement dans l'attitude des gens vers son Gouvernement et dans la capacité de celui-ci d'accomplir ses fonctions.

Iraqis on the street laboure non longer scared of un rival militias so beaucoup, or of being exterminated and they non longer have prends racine beaucoup support for the religious parties. Maliki is still perceived by many to be not very sectarian and not very religious, and demeure of à "nationalist." Another thing people would notice if they focused on "the street" is that the militias laboure finished, the Awakening Groups/SOIs laboure finished, so violence is limited to assassinations with silencers and sticky bombs and the occasional spectacular terrorist attack - all manageable and not strategically important, even if tragic. Politicians might be talking the sectarian talk but Iraqis have grown very cynical.

La sécurité continue d'être le plus grand souci des Irakiens, mais à des niveaux inférieurs qu'il y a deux ans.

Rosen croit que la domination chií est assurée. La force des nombres ne laisse pas de lieu pour des doutes. Maliki est devenu la lettre nationale. Le caractère effectif de son Gouvernement dans les trois dernières années lui garantit sa position. Il s'est assuré cette identité quand il a négocié depuis une position de force l'accord sur la présence des troupes nord-américaines des derniers mois de l'Administration de Bush.

Quand est arrivé Obama au pouvoir, la presse nord-américaine n'a pas perdu de temps dans se demander jusqu'à où oserait arriver le nouveau président dans le processus de retraite des troupes. Toujours en pensant que toute chose qui arrive à Washington est plus importante que ce qu'il passe dans le reste de monde, ils ne savaient pas que les lettres du départ étaient déjà sur la table. Maliki s'est assuré sa légitimité en imposant quelques périodes que, d'un autre côté, il n'était pas intéressant non plus Obama de retarder.

Rosen affirme que les suníes sont politiquement neutralisés. L'élimination d'un haut nombre de candidats suníes par sa relation supposée avec le Baas aurait provoqué dans un autre temps une commotion authentique. Maintenant il n'a pas été ainsi. Les milices anciennes tribales suníes qui se sont alliés à l'Armée nord-américaine pour s'affronter aux groupes yihadistas disparaissaient dans les dernières années. Les promesses qui ont reçu de Washington ne se sont pas accomplies, parce que le Gouvernement de Maliki n'a jamais eu de moindre intention de les respecter. Parfois, il semblait que ces milices pouvaient recommencer à prendre les armes contre le Gouvernement, et revenir à l'insurrection dont en réalité ils étaient originaires, mais cette possibilité n'est jamais arrivée à devenir une réalité.

La fin de l'Irak sectaire ne signifie pas que la réconciliation politique entre suníes et chiíes est un fait. D'une entrée, il reste sans résoudre la relation des kurdes avec le nouvel État irakien et la question de la ville de Kirkuk. À la différence des élections précédentes législatives, oui il y aura une vaste présence de partis suníes qui pourront avoir un papier éminent dans le jeu d'alliances qu'il a lieu dans le Parlement.

Juan Cole pose que les associés chiíes que Maliki aura besoin pour gouverner lui exigeront qu'il fait un honneur à ses lettres de créance nationalistes et accélère la retraite nord-américaine. Ces associés sont le mouvement D'au Sáder et Au Conseil Suprême Islamique de l'Irak. Ce dernier parti n'a pas déjà pour leader d'Abd au-Aziz À L'Hakim (il est mort par un cancer) et son fils a défendu une position plus décidée contre les EU. Maliki n'est pas pressé parce que les Nord-Américains sont déjà insignifiants dans le jeu politique irakien. Les partis qui gouverneront après ces élections ont à plus prêter une attention à ses relations avec Téhéran qu'avec Washington.

Ce n'est pas quelque chose que beaucoup de médias des EU sont encore très bien.

Ils disent quelques chroniques qu'une passion n'a pas été appréciée dans les votes semblée à celle de 2005. C'est bon. Un an après ces comices, s'est déchaînée une guerre civile brutale qui a provoqué une boucherie, y compris la purification ethnique d'une partie de Bagdad. Il faut rappeler une idée répétée souvent et ignorée quelques. Les élections ne sont pas un remède miraculeux dont le résultat est toujours une augmentation de la démocratie. S'il n'y a pas de processus politique derrière qui les appuie, ils servent à ajourner seulement la solution.

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