Monday, March 8, 2010

Jeff Bridges

Si Jeff Bridges avait prêté une attention à tout ce qui s'est écrit sur lui, il aurait lu dans trop d'occasions qu'il attendait encore le grand papier qui transformait sa course. D'une certaine manière, "Le grand Lebowski" a accompli cette condition, mais "Crazy Heart" a été le film qui l'a largement récompensé.

Résulte un exemple de justice poétique que l'Oscar a reçu par un papier qui ne peut pas être compris sans la musique. À son pas par Londres, pour présenter le film, Bridges commentait qu'il avait douté pendant des années de s'il voulait se consacrer au cinéma, et que la musique avait été sa première passion.

"J'aime la musique tant et il avait tant d'envie dont sortait bien qui arrive à s'inquiéter", a-t-il dit sur ce petit projet qui à un point a été de rester enterré sur le marché du DVD. C'était son interprétation ce qu'il a sauvé au film et à Hollywood l'a récompensé par un Oscar.

J'ai été dans l'un des entretiens, á côté d'un groupe de quatre ou cinq journalistes, qui a donné les Bridges à Londres. C'était un plaisir, et un soulagement, que l'acteur prenait la conversation avec tant d'envies. Pour les acteurs, c'est probablement une importunité authentique passer la plupart de jour en recevant des journalistes, en écoutant parfois les mêmes questions, pas toutes des intelligents, et en essayant de vendre le film, qui est dont il s'agit. Mais il y a certains, comme les Bridges, qui le prennent avec humeur, prennent son temps pour répondre et ils n'ont pas d'inconvénient de parler d'autres films du passé.

Un bridge a parlé de "Crazy Heart" et d'autres choses. C'est ce que j'ai écrit au sujet de l'entretien. Et oui, chaque on semble plus à The Dude, le personnage "Du grand Lebowski", bien que je croie que la barbe l'a au rodage du remake de "Valeur de loi" avec les frères Coen.
----

La photo est d'une séance réalisée pour le dominical du NYT.

No comments:

Post a Comment